Un Agréable Trajet Pour L’Anniversaire De Ma Mère

Cette année c’est les 65 ans de ma mère (elle m’a eu a 38 ans, je vous laisse faire le calcul). Elle a organisé une journée anniversaire le dimanche qui suit la vraie date. J’ai quitté le bercail familiale depuis un moment. Je suis marié depuis bientôt 6 ans avec Laurence, notre couple a beaucoup de haut et de bas. En ce moment c’est plutôt un bas alors elle décide de ne pas m’accompagner à la fête.

Quand j’appelle ma mère le jour J, je lui dis que bien sûr je serai présent dimanche mais malheureusement ma femme ne pourra pas venir car elle est bien malade. Comme on est en plein hiver je pensais que ça aller passer mais ma mère me répond:
« Elle a pas envie de venir, tant mieux! »
J’espère que Laurence qui se tient pas loin de moi n’a rien entendu.

Quelques instants après avoir raccroché mon téléphone sonne, c’est encore ma mère qui voulait me prévenir que Rachel habite à 20 km de chez moi depuis peu et que nous pourrions faire le trajet ensemble. Elle me donne son numéro pour que je rentre en contact avec elle.

Ma femme me demande des explications, j’ai même pas le temps de finir qu’elle me demande
« Qui est cette Rachel? »
Je lui dis que c’est une amie de ma mère qu’elles ont le même âge, Laurence est tout de suite rassurée. A l’époque où j’ai couché avec Mireille (voir l’histoire de mon dépucelage) et même de Marie Annick (voir « Marie Annick m’initie à l’anal ») je fantasmais sur Rachel.

C’était une belle brune avec un port d’altesse, elle avait un regard doux et sévère en même temps. Sa poitrine était ferme et généreuse, elle avait de belles et fines jambes qui m’ont souvent donné envie de voir plus haut. Je n’ai jamais réussi à la voir nue mais une fois, lors d’un week end chez elle, j’ai réussi à lui voler une culotte. Je me suis souvent masturbé en respirant son odeur.

Mais tout ça c’était il y a un moment, je crois que la dernière fois que je l’ai vu c’était le jour de mon mariage.

Très heureux de la revoir et surtout de découvrir comment elle est devenue, je l’appelle immédiatement. Nous parlons pendant plus d’une heure et nous finissons pas conclure que je passerai la prendre chez elle pour faire la route ensemble.

Le dimanche, à 8h30 je l’appelle avant de prendre la route pour la prévenir que je prends la route. Quand j’arrive devant sa maison elle est déjà dehors, je vois tout de suite que sa belle crinière est devenue une coupe courte et que ses cheveux sont gris. Elle est tellement emmitouflée que je ne devine rien de son corps, je vois juste une jupe bleu dépasser et qu’en dessous ses jambes sont nues.

Elle se rapproche, ouvre la portière pour me saluer et enlève manteau et écharpe. Elle porte un haut orange qui me rappelle ses tenues excentriques, elle est toujours aussi belle. Je me penche vers elle pour l’embrasser et je remarque qu’à part quelques nouvelles rides qui la rendent encore plus séduisante et ses cheveux gris elle n’a pas changé.

Je suis un peu gêné, je ne sais pas quoi dire alors je commence à rouler. C’est elle qui brise la glace en premier en me disant que si elle m’avait croisé dans la rue, elle ne m’aurait pas reconnu. Je lui réponds:
« Ne vous inquiétez pas, je vous aurai reconnu. Vous n’avez pas changé sauf que vous êtes encore plus belle. »

Elle me remercie pour le compliment mais me demande pourquoi je la vouvoies maintenant. C’est vrai que je l’ai toujours tutoyer surtout que je la connais depuis que j’ai 6 ans. Je ne serais pas l’expliquer mais c’est le vous (sous sa forme de respect) qui est sorti en premier. Elle me dit qu’elle préfère que je la tutoies mais que si ça ne sort pas ce n‘est pas grave.

Puis tout un coup elle me demande:
« Comment ça se passe avec ta femme? »
Je lui répond simplement que la vie à deux est compliquée, elle confirme et me dit que surtout elle doit être jalouse. Je ne comprends pas ce qu’elle a voulu dire, je la regarde étonné, elle me semble gênée mais rajoute:
« Enfin je veux dire que tu es encore plus beau qu’ et déjà à l’époque tu en fais pas mal craquer! »

Je sens que je rougis mais je me justifie en lui disant que je ne suis pas un garçon aussi facile! Elle rigole et me demande:
« Sérieusement entre toi et moi, tu ne l’as jamais trompé.
 »
Je ne sais pas pourquoi mais je finis par lui avouer que j’ai eu une petite liaison avec sa soeur, ma belle soeur. Rachel rigole et me dit que ça commence toujours par une!

Pour détourner la gêne je lui lance un:
« Et vous? Je ne vous ai jamais vu avec un homme en 20 ans »
Je me tourne vers elle, je vois qu’elle rougit à son tour mais surtout que sa jupe et relevée à mi cuisse et même un peu plus en dessous, je devine sa fesse. Elle met un moment à répondre:
« On se dit tout pendant ce voyage! Alors ce n’est pas parce que tu n’as pas vu qu’il n’y a pas eu! »
Elle rajoute même qu’aujourd’hui encore elle ne pourrait pas se passer de sexe.

Je croyais la gêner mais c’est moi qui le suis à la fin, en plus les pensées que j’ai en ce moment m’assèche la gorge. Je lui demande si elle peut me passer la bouteille d’eau qui est derrière. Elle se penche, dévoile un peu plus ses cuisses mais n’y arrive pas. Rachel reprend sa place devait sa ceinture et glisse le haut de son corps entre les deux sièges.

Sans s’en rendre compte, elle emporte dans son mouvement une partie de sa jupe et me dévoile sa croupe, je me penche un peu pour mieux voir. Elle ne porte pas de culotte, je n’en reviens pas à son âge! En tout cas quand j’observe son entrejambe elle ne parait pas être soixantenaire. Je tourne vite mon regard vers la route avant qu’elle s’en rende compte.

Elle prend tout son temps, une voiture nous double et je vois un jeune homme assis à l’arrière qui se retourne pour admirer ma passagère dans cette position. Je suis obligé de dire quelque chose:
« Euh! Rachel! Votre jupe est coincé et un jeune homme dans la voiture qui nous double à le cerveau qui va griller. »
Elle revient s’assoir me tend la bouteille en rigolant et rajoute:
« Tend mieux pour lui mais dis moi tu n’as pas regarder toi aussi? »

Pour toute réponse je rougis à nouveau mais ne dis rien. C’est à nouveau elle qui va briser le silence en me disant:
« Tu sais l’année dernière Mireille est venue passé un longue week end chez moi.
 »
Elle pose sa main sur ma jambe, me caresse et continue en me disant que le premier soir elles ont beaucoup bu. Elle laisse un blanc mais sa main est toujours active et elle ajoute:
« Elle m’a tout raconté »
Je rougis encore plus mais surtout je bande de plus en plus alors que sa main se rapproche de ma bite.

Alors que ses doigts remonte entre mes deux cuisses que j’écarte un peu plus, Rachel me demande pourquoi je n’ai rien tenté avec elle. Je lui réponds que j’y ai souvent songé mais qu’elle m’a toujours paru inaccessible. Je rajoute même qu’avec Mireille, c’est elle qui a fait le premier pas. Il y a une aire de repos dans 2 km, il faut qu’on s’arrête. Je n’ai pas le temps de lui dire qu’elle me dit en même temps que sa main arrive sur mon costume 3 pièces:
« Humm! Tu y as songé! »

Je profite de sa main et juste avant d’enclencher le clignotant je lui avoue que je lui ai volé une culotte il y a plus de 10 ans et que je l’ai reniflé jusqu’à ce qu’elle n’est plus d’odeurs. Sa main serre encore plus ma queue à travers le pantalon au fur et à mesure que je lui raconte cette histoire.

Heureusement pour nous l’aire de repos est totalement vide, j’ai à peine le temps de serrer le frein à main que Rachel colle sa bouche contre la mienne. C’est à mon tour de la toucher, je pose ma main entre ses deux cuisses et je la remonte doucement. Une fois contre sa fente je me rend compte qu’elle a aucun poil, une chatte de jeune fille sur une femme de 65 ans.

Je sens que ses lèvres intimes sont déjà bien humides mais pour le principe je lui demande quand même:
« Vous êtes sûre? »
Pour toute réponse elle appuie sur ma main pour enfoncer bien profondément mes deux doigts en elle. Ensuite Rachel les fait ressortir et lèche mon index et mon majeur qui sont recouvert de sa mouille, je crois que j’ai ma réponse.

Une fois qu’ils sont propres, elle les redescend vers son entrejambe et je les remonte sur son clito.
Elle recolle sa bouches à la mienne, ses lèvres ont le goût de sa mouille, je les aspire l’une après l’autre ensuite je fais rentrer ma langue dans sa bouche.

Pendant ce temps elle a du mal à ouvrir ma ceinture, je ne peux l’aider qu’à une main. En gardant nos têtes collées, elle bouge son corps ce qui m’oblige à abandonner son petit bouton et ouvre mon pantalon. Je me soulève et elle le fait glisser en même temps que mon boxer. Ensuite elle se penche et englouti directement ma queue dans sa bouche.

Avec ma main j’essaye d’atteindre sa chatte mais Rachel est tellement cambrée que c’est impossible. Ma main se rabat sur le devant de son corps et se glisse dans son haut. J’att le premier sein que je touche, elle ne porte pas de soutien gorge. Je commence à le malaxer et je me rapproche de son téton.

Elle me suce avec passion, sa langue sait ce qu’elle fait et trouve très rapidement tous mes points sensibles. Je ne sais pas si c’est de fantasmer sur Rachel depuis 15 ans et de m’être retenu ou si parce que ça fait plus d’un mois que je n’ai pas fait l’amour mais je n’arrive pas à me retenir et me vide dans sa bouche.

La copine de ma mère me suce encore plus sauvagement et avale mon sperme en même temps. Sa bouche continue de monter et descendre le long de ma tige alors que je commence déjà à ramolir entre ses lèvres. Je m’excuse immédiatement et lui dit que je ne sais pas pourquoi je n’ai pas réussi à me retenir.

Elle se relève et me dit:
« C’est peut être parce que je t’excite beaucoup ! »
Et colle ses lèvres contre les miennes. Sa bouche a le gout de mon sperme. Elle se décolle et s’arrange mais je glisse une main entre ses jambes jusque sous son siège et lui:
« Mais je n’ai pas dit que c’est fini! »

J’appuies sur la manette et je fais reculer son siège au maximum. Je me glisse entre ses jambes et j’actionne le bouton qui fait allonger le siège. Je m’allonge sur elle, l’embrasse ensuite je fais remonter son haut au dessus de sa tête et l’embrasse à nouveau mais plus passionnément.

J’essaye de garder au maximum ma queue contre ses lèvres intimes, ma bouche descend sur son cou, mon corps est obligé de suivre et nos sexes s’abandonne. Je me retrouve à hauteur de ses seins. Je les embrasse l’un après l’autre. Je me concentre d’abord sur son téton droit que je pince entre mes lèvres pendant que ma main fais la même chose à l’autre.

Rachel se remet à gémir, avec ma main de libre je pars à la recherche de son clito. Dès que je le trouve ses manifestations de plaisir se font plus aiguës. Je un peu plus son sein qui est entre mes lèvres en le mordillant mais elle aime ça.

Je cajole sa poitrine et son petit bouton depuis un moment quand elle appuies sur mes épaules pour me faire descendre. Je me retrouve face à son mont de Venus totalement imberbe. Je passe ma langue autour de ses grandes avant de passer dessus et entre elles. J’ai directement le goût de son nectar en bouche ce qui m’excite encore plus.

Je remonte vers son clito pour l’aspirer quand mon index et mon majeur remplace ma langue sur ses lèvres. Elles sont déjà assez ouvertes et humides pour accueillir mes doigts entre elle. Plus je les enfonce plus j’aspire son petit bouton et plus la copine de ma mère ronronne.

Elle appuie sur ma tête pour augmenter la pression sur son clito, je commence à le mordiller pendant que mes doigts tournoient dans sa moule. Je sens son élixir couler dans la paume de ma main. Alors que je continue de cajoler son petit bouton je retire mes doigts en même temps mais doucement.

Sans lui mettre de la mouille de partout je soulève un peu son bassin. Ma bouche et ma langue reprennent rapidement leur rythme alors que deux doigts de ma main sèche pénètre sa fente. Je la ramone ardemment puis je me calme pendant que mon index humide part masser la rondelle de la copine de ma mère.

Pendant que son petit trou s’ouvre sous le massage de mon doigt, que je baise son vagin délicatement à deux doigts et que je bouffe son petit bouton je repense à toutes ces fois où je n’ai pas osé l’aborder. Je me console en me disant qu’aujourd’hui la nouveauté est encore meilleur.

Son cul cède très rapidement, mon index à tout juste le temps de faire deux petits allers retours dans ses entrailles que je sens tous ses muscles se contracter autour de mes doigts. Je fais gentiment tournoyer mon doigt qui est entre ses fesses alors que les deux qui sont dans sa moule la défonce le plus sauvagement possible. Maintenant son clito est entre mes dents et je le titille de la langue.

Je sens que Rachel coule de plus en plus alors que ses sphincter broient mes doigts. Ses mains sont fermées sur mes cheveux et ses ongles me griffent le crâne. J’espère que personne ne s’est garé entre temps parce qu’il n’est pas possible de ne pas entendre ses hurlement de plaisir.

Son orgasme ne semble pas s’arrêter, elle convulse de plaisir. Pour être sûr qu’elle ne fasse pas un arrêt dans ma voiture mes dents relâche son petit bouton et mes doigts dans sa grotte se calment au rythme de celui dans son cul. Je continue de ramoner ses deux trous un moment et je constate que les vitres de la voiture sont complètement embuées.

Je retire d’abord mon doigt seul avant de libérer sa longue fente. Quand je me relève je constate que le col de mon t-shirt est trempé, heureusement que je ne porte pas déjà ma chemise pour la fête. La copine de ma mère remarque tout de suite que ma queue est de nouveau en pleine forme. Elle fait relever son dossier et comme mes genoux sont pliés, ma bite se retrouve entre ses seins…

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